Le champ de bataille… C’est mal barré (qui a dit « comme d’hab » ?). Arthur gesticule dans tous les sens, Lancelot indique à Kay les drapeaux à agiter, Kay donne des coups de Tutut et agite les drapeaux, mais ça sert pas à grand chose… Les bras cassés en action… Enfin, comme les Wisigoths sont pas plus doués, ça pourrait presque équilibrer les choses… Mais ils sont plus costauds et moins douillets. Et comme en plus personne n’arrive à se mettre d’accord sur les notions de gauche et de droite dans l’état major d’Arthur (et pourtant, Perceval n’est pas là), ils sont pas sortis de l’auberge (ou plutôt, ils sont pas près d’y aller boire un coup).
Arthur décide alors de recourir à Merlin, lequel propose la retraite. Une chose qu’Arthur arrive à faire sans Merlin, et ce ne serait que la 5è depuis le début de l’année, comme le souligne Lancelot. Effectivement, ils ont de l’entraînement. Lancelot propose la pluie de pierre, comme de toute façon, ils n’ont presque plus d’hommes sur le champ de bataille, c’est pas si grave, sauf que l’état major risque d’en prendre aussi. Exit la pluie de pierre, faut pas déconner quand même.
Et là, Merlin a une idée de génie (je sais, ça fait peur). Enflammer le froc du chef à l’aide d’une boule de feu. Lancelot voit là l’occasion idéale de se tirer, mais Arthur veut gagner la bataille (histoire de changer). Donc, on en arrive à un compromis : Boule de feu sans retraite.
Merlin lance son sort, qui blesse Arthur au passage (c’eut été trop beau !), mais qui réussit cependant à cramer un bon paquet de Wisigoths, puisqu’ils ont des slibards en paille. Merlin est fier de son coup, mais Arthur lui conseille d’apprendre à viser. Seulement voilà… On ne change pas les bonnes habitudes, et Arthur, désespéré, voit que ses hommes battent quand même en retraite.
Galessin vient annoncer la procédure d’évacuation pour plus de sécurité, et Arthur se casse… Il en a légèrement ras le bol, et le manifeste avec un mot de 5 lettres repris par sa garde. C’est que ça sentait le caramel, sur le champ de bataille, d’après Galessin, et ça prenait à la gorge. Et tout le monde de remarquer la susceptibilité du roi…
On se demande bien pourquoi.