Arthur et Léodagan discutent en buvant à l’extérieur du château, entourés de courtisans et de Merlin, occupé à pécher. Les deux souverains comparent leurs méthodes quant au sort réservé aux voleurs de moutons, un exemple parmi d’autre expliquant pourquoi Léodagan n’est pas, à sa grande surprise, très populaire en Carmélide. Léodagan se défend de ne pouvoir utiliser d’autres méthodes, puisqu’il n’a ni Excalibur, ni Merlin.
Là dessus survient Bohort, totalement paniqué, pour cause d’invasion Viking. Evidemment, y a pas de tourelles sur la plage, comme le souligne Léodagan. Et il y a de quoi terrifier Bohort, ils sont 2 Vikings à menacer le château. Pas 200, 2, qui réclament un tribut.
Arthur et sa suite, du haut des remparts, parlementent donc, l’écuelle à la main, il y a des priorités dans l’existence tout de même, avec le redoutable –tout est relatif- Sven à la Barbe Souple.
Les Vikings sont réellement terrifiants, puisque d’un seul cri le compagnon de Sven terrasse un farouche hamster. Il est même presque mort. (Signalons au passage que Bohort n’a pas eu peur du cri).
Arthur décide de descendre des remparts, Merlin et Bohort lui conseillant de payer le tribut. Les dieux Normands, c’est pas des rigolos, d’après Merlin, et c’est plus prudent, d’après Bohort. Et ce malgré Léodagan, qui se propose de les renvoyer sur la banquise avec la délicatesse qui le caractérise (un coup de pied au Q, quoi).
En guise de tribut, Arthur n’hésite pas à proposer… Sa cuiller, qu’il présente comme une inestimable relique, offerte en souvenir de la victoire du roi sur le dragon qui bloquait l’entrée. Cette cuiller est vraiment un symbole ! Qui peut faire cuiller…
Et les redoutables envahisseurs s’en vont, satisfaits, pendant que l’entourage du roi commente la recrudescence des invasions par les temps qui courent… Des Pictes ont même essayé de vendre des brioches à Léodagan.
Et maintenant, il est temps de passer au fromage.
Sujet: Pilote : L'Invasion Viking 
