Procès à Kaamelott. On juge une femme qui a volé pour nourrir son enfant, ce qui lui vaut la clémence de Lancelot. Malheureusement, en plus d’Arthur et de son chevalier, on note la présence de ce cher répurgateur.
Comme toujours, il est l’image même de la charité chrétienne, et se montre intraitable.
Il reste encore un cas à juger… Deux dangereux sorciers, accusés d’être des hérétiques… Karadoc et Perceval. Qui n’ont rien compris. Et personne ne comprend d’ailleurs… Vu que, selon Arthur, ils ne sont pas capables de se faire cuire un œuf (ce qui est un mensonge de la pire espèce, puisqu’ils se sont fait une omelette au fromage l’autre jour, non mais…).
Arthur est furieux après le Répurgateur, et ne comprend toujours pas ce que ses hommes font là. On finit par apprendre que les deux Glands doivent être brûlés vifs pour sacrifice d’animaux, nécrophagie et incantations démoniaques.
Ils en sont les premiers surpris… Ils ont en fait égorger un pintadeau, donné par la tante de Karadoc, pour le rôtir et le manger. Et évidemment, le pintadeau (et non un poulet, comme le prétend le Répurgateur) était mort quand il a été mangé. Quant aux incantations démoniaques, il s’agissait d’un chant du Pays de Galles.
Malgré les explications plus que convaincantes de Karadoc et Perceval, le Répurgateur continue à vouloir les faire cramer.
Arthur décide donc d’avoir une petite explication avec lui, et le met face à Excalibur, l’épée magique. Un truc qui doit pas lui plaire, au Répurgateur. Arthur utilise bien la magie, alors que c’est interdit, ce dont le Répurgateur convient. Excalibur n’empêche pourtant pas Arthur d’être roi, une situation qui embarrasse le Répurgateur, qui ne trouve rien de mieux à faire qu’à s’en prendre au roi. Une excellente idée.
C’est ainsi que celui qui veut envoyer tout le monde au bûcher se retrouve ficelé. Et Blaise lui rappelle que la sentence étant rendue, il n’y a plus rien à faire.
Ca sent le roussi pour le Répurgateur…