Ambiance très solennelle pour les funérailles d’Ulfin. Manque de bol… Le feu pour le bûcher funéraire ne prend pas…
Faut faire diversion en attendant les brindilles. Mais comment faire cela discrètement ? Le père Blaise refuse de recommencer sa bénédiction. Ca se fait pas, même si personne ne comprend le latin. Blaise propose à Arthur de demander à Ygerne de dire quelques mots, puisqu’elle a bien connu Ulfin. Un sujet qui est fort sensible pour Arthur.
Le problème, c’est qu’Ygerne n’a pas de souvenirs racontables… Et même les pas-racontables, qu’Arthur préfère ne pas entendre, ne sont pas terribles… Finalement, Arthur se résout à faire lui même un petit discours, pas franchement inspiré… Tellement pas inspiré qu’il réveillerait un mort…
D’ailleurs, ce cher Ulfin se réveille. Blaise crie au miracle, évidemment.
C’est bête, juste au moment où le feu se décidait enfin à prendre. Le miracle provoque d’ailleurs une allégresse rare (cherchez la, vous aurez du mal à en trouver des traces, c’est bien la preuve de sa rareté).
Tout le monde se retrouve au banquet funèbre, où il manque un couvert, puisqu’Ulfin n’était pas sensé être présent. Ulfin raconte ses aventures amoureuses, sous l’œil désespéré du roi, qui n’apprécie pas trop de voir Ulfin trop proche d’Ygerne. Arthur aimerait d’ailleurs bien reprendre la crémation, et tant pis si Ulfin n’est pas mort-mort. Malheureusement pour le roi, Blaise maintient qu’être mort-mort est la condition sine qua non. Mais quand Ulfin évoque Pendragon, Arthur tire son couteau, et est aussitôt maîtrisé par Léodagan et Blaise.
Le roi décide alors de quitter le banquet. Hélas, Ulfin a la mauvaise idée d’envisager de récupérer l’assiette d’Arthur, puisque celui ci s’en va. Et le roi envisage alors de poeler Ulfin. Arthur est évacué, porté par ses chevaliers.
C’était vraiment son jour de chance, à Ulfin.